IDCC : 1486 – Bureaux d’études techniques et de conseil

Bulletin d’information des bureaux d’études n°76

Comme chaque année l’organisation patronale SYNTEC nous invite à son Assemblée Générale de clôture. Et bien entendu, c’est l’occasion de pouvoir inviter un acteur politique et/ou social. A cette occasion c’est Monsieur GATTAZ qui a été retenu. Compte tenu des propos de ce monsieur tenu à notre encontre, la CGT a envoyé à la présidente de SYNTEC une lettre ouverte :

Bulletin d’information des bureaux d’études n°75

La réunion de la commission paritaire de négociation de la convention collective s’est tenue le 18 mai 2016. Du fait de la situation sociale la CGT n’a pu se rendre à cette réunion. Mais nous n’avons rien manqué puisque la réunion n’a duré qu’un peu plus d’une heure. En effet, le patronat a regretté le manque de propositions des organisations syndicales sur la question des astreintes et du travail de nuit.

SOFRES : Tout va bien !!!

SOFRES tout va bien !!! : Dans un mail daté du 17 mars 2016, Jean Michel Janoueix annonçait : « nous allons renforcer notre investissement dans le DIGITAL et booster la digitalisation de nos activités ». Il est à craindre que cette digitalisation ne conduise à la disparition pure et simple du FACE – à – FACE qui emploie pourtant plusieurs centaines de vacataires précaires chaque année.

Bulletin d’information des bureaux d’études n°74

Contre la « loi travail », amplifions la mobilisation

Le gouvernement, allié du MEDEF a choisi, depuis près de 3 mois, de refuser tout dialogue avec les organisations syndicales et en particulier la CGT quant à la « réécriture » du Code du travail dont la « loi travail » est un premier élément.

CAPGEMINI : Les salariés de Sogeti High Tech Toulouse se mobilisent pour refuser des licenciements injustes de leurs collègues !

Ce vendredi matin, plusieurs dizaines de salariés de Sogeti High Tech (groupe Capgemini) se sont mobilisés devant le site toulousain de Sogeti High Tech (3 chemin Laporte 31023 Toulouse) pour défendre leur collègues licenciées injustement.

Ils n’acceptent pas ce que subissent plusieurs de leurs collègues et ils ne comprennent pas pourquoi ces collègues ont pu être ainsi victimes de véritables machinations visant à les licencier avec une violence psychologique sans précédent dans le groupe !

La direction se retranche derrière une exigence accrue des principaux donneurs d’ordres qui l’obligeraient à exiger davantage de ses salariés et donc à licencier pour insuffisance professionnelle.