Étiquette : Retraite

  • La CGT appelle les salarié.e.s des cabinet d’avocats à manifester les 16 et 24 septembre 2019

    La CGT appelle les salarié.e.s des cabinet d’avocats à manifester les 16 et 24 septembre 2019

    La Fédération CGT des Sociétés d’Etudes appelle l’ensemble des salarié.e.s des cabinets d’avocats à manifester contre la réforme des retraites les 16 septembre à 12h dans le cadre de la profession et le 24 septembre en convergence avec l’ensemble des salarié.e.s tous secteurs confondus. Au-delà des conséquences de cette réforme sur les cabinets qui pourrait se traduire par des difficultés économiques générant des licenciements (hausse des cotisations au titre de la profession), les salariés eux aussi vont avoir à la subir.

    En effet, elle va se concrétiser par un allongement de la durée du travail et une baisse des pensions. Ainsi :

    • Une personne ayant travaillé toute sa vie, mais finissant les 8 dernières années de sa carrière en invalidité avec un salaire (salaire médian) de 1880€ peut partir aujourd’hui avec une pension de 1163€. Demain avec un régime à points, elle tombe à 923€, soit -243€.
    • Une enseignante, professeure de collège qui a débuté à 24 ans et part à 63 ans, subit une décote de 20% et touche une pension de 1900€. Demain, elle passerait au même âge à 1622€ soit -278€.
    • Une femme, 43 ans de travail dont 23 ans à temps complet, retraite à 62 ans, avec le système actuel : 801€ par mois. Montant avec un système par points : 535€ soit -221,5€/mois.
    • Un employé ayant travaillé toute sa vie au SMIC, retraite avec 44 ans de travail à 60 ans pour carrière longue. Retraite de base : 788€/mois. Retraire avec le système par points : 696€ soit -92€/mois.
    • Un cadre avec de multiples employeurs, avec des périodes de chômage avec le calcul sur les 25 meilleures années, passe d’un salaire moyen de 2300€ à 1471€ (hors retraite complémentaire). Demain, avec le régime universel, la totalité de sa pension tombe à 1348€.

    Le rapport de Jean-Paul DELEVOYE, haut-commissaire à la réforme des retraites, est des plus clairs. Il s’agit d’organiser et de garantir la baisse des pensions de retraite… puisque cette réforme se fait « à moyens constants » et que le nombre de retraités va augmenter. Et monsieur Delevoye l’assume complètement dans les simulations, par ailleurs inexactes, qui voient toutes, sans exception, les pensions retraite baisser au fil du temps.

    La simulation, pour faire passer la pilule, compare le système Macron à une retraite du système actuel calculée selon une durée de cotisation fictive, plus longue que prévue par la législation actuelle.

    Donc plutôt que de comparer la réforme Macron au système actuel (ce qui ferait apparaître une baisse généralisée des pensions), Delevoye compare la réforme des retraites à …quelque chose qui n’existe pas. Comme ça on a l’impression que sa réforme est géniale…

    Et au détour d’une discrète phrase de la page cent douze, on nous annonce que pour garantir l’équilibre financier du système, le projet de réforme Macron sera « enrichi » avec des mesures de baisse des retraites à court terme. Les personnes prenant leur retraite avant 2025 ne seront donc pas épargnées.

    C’est pourquoi, nous devons nous mobiliser pour empêcher cette réforme de voir le jour.

     

    La Fédération CGT des Sociétés d’Etudes négocie la convention collective des cabinets d’avocats. Elle y représente la seconde force syndicale dans cette branche.

    CONTACTS : Noël LECHAT – 01 55 82 89 41 – fsetud@cgt.fr

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  • L’écho du Portage n°14

    L’écho du Portage n°14

    La fédération CGT des Sociétés d’Etudes appelle les salariés à manifester contre la réforme des retraites le 24 septembre en convergence avec l’ensemble des salariés tous secteurs confondus. Cette réforme des retraites voulue par Macron est catastrophique pour les salarié.e.s.

    En effet, elle va se concrétiser par un allongement de la durée du travail et une baisse des pensions. Ainsi :

    • Une personne ayant travaillé toute sa vie, mais finissant les 8 dernières années de sa carrière en invalidité avec un salaire (salaire médian) de 1880€ peut partir aujourd’hui avec une pension de 1163€. Demain avec un régime à points, elle tombe à 923€, soit -243€.
    • Une enseignante, professeure de collège qui a débuté à 24 ans et part à 63 ans, subit une décote de 20% et touche une pension de 1900€. Demain, elle passerait au même âge à 1622€ soit -278€.
    • Une femme, 43 ans de travail dont 23 ans à temps complet, retraite à 62 ans, avec le système actuel : 801€ par mois. Montant avec un système par points : 535€ soit -221,5€/mois.
    • Un employé ayant travaillé toute sa vie au SMIC, retraite avec 44 ans de travail à 60 ans pour carrière longue. Retraite de base : 788/mois. Retraire avec le système par points : 696€ soit -92€/mois.
    • Un cadre avec de multiples employeurs, avec des périodes de chômage avec le calcul sur les 25 meilleures années, passe d’un salaire moyen de 2300€ à 1471€ (hors retraite complémentaire). Demain, avec le régime universel, la totalité de sa pension tombe à 1348€.

    Le rapport de Jean-Paul DELEVOYE, haut-commissaire à la réforme des retraites, est des plus clairs. Il s’agit d’organiser et de garantir la baisse des pensions de retraite… puisque cette réforme se fait « à moyens constants » et que le nombre de retraités va augmenter. Et monsieur Delevoye l’assume complètement dans les simulations, par ailleurs inexactes, qui voient toutes, sans exception, les pensions retraite baisser au fil du temps.

    La simulation, pour faire passer la pilule, compare le système Macron à une retraite du système actuel calculée selon une durée de cotisation fictive, plus longue que prévue par la législation actuelle.

    Donc plutôt que de comparer la réforme Macron au système actuel (ce qui ferait apparaitre une baisse généralisée des pensions), Delevoye compare la réforme des retraites à …quelque chose qui n’existe pas. Comme ça on a l’impression que sa réforme est géniale…

    Et au détour d’une discrète phrase de la page cent douze, on nous annonce que pour garantir l’équilibre financier du système, le projet de réforme Macron sera « enrichi » avec des mesures de baisse des retraites à court terme. Les personnes prenant leur retraite avant 2025 ne seront donc pas épargnées.

    C’est pourquoi, nous devons nous mobiliser pour empêcher cette réforme de voir le jour.

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  • A vos Cass… n°41

    A vos Cass… n°41

    La fédération CGT des Sociétés d’Etudes appelle les salariés à manifester contre la réforme des retraites le 24 septembre en convergence avec l’ensemble des salariés tous secteurs confondus. Cette réforme des retraites voulue par Macron est catastrophique pour les salarié.e.s.

    En effet, elle va se concrétiser par un allongement de la durée du travail et une baisse des pensions. Ainsi :

    • Une personne ayant travaillé toute sa vie, mais finissant les 8 dernières années de sa carrière en invalidité avec un salaire (salaire médian) de 1880€ peut partir aujourd’hui avec une pension de 1163€. Demain avec un régime à points, elle tombe à 923€, soit -243€.
    • Une enseignante, professeure de collège qui a débuté à 24 ans et part à 63 ans, subit une décote de 20% et touche une pension de 1900€. Demain, elle passerait au même âge à 1622€ soit -278€.
    • Une femme, 43 ans de travail dont 23 ans à temps complet, retraite à 62 ans, avec le système actuel : 801€ par mois. Montant avec un système par points : 535€ soit -221,5€/mois.
    • Un employé ayant travaillé toute sa vie au SMIC, retraite avec 44 ans de travail à 60 ans pour carrière longue. Retraite de base : 788/mois. Retraire avec le système par points : 696€ soit -92€/mois.
    • Un cadre avec de multiples employeurs, avec des périodes de chômage avec le calcul sur les 25 meilleures années, passe d’un salaire moyen de 2300€ à 1471€ (hors retraite complémentaire). Demain, avec le régime universel, la totalité de sa pension tombe à 1348€.

    Le rapport de Jean-Paul DELEVOYE, haut-commissaire à la réforme des retraites, est des plus clairs. Il s’agit d’organiser et de garantir la baisse des pensions de retraite… puisque cette réforme se fait « à moyens constants » et que le nombre de retraités va augmenter. Et monsieur Delevoye l’assume complètement dans les simulations, par ailleurs inexactes, qui voient toutes, sans exception, les pensions retraite baisser au fil du temps.

    La simulation, pour faire passer la pilule, compare le système Macron à une retraite du système actuel calculée selon une durée de cotisation fictive, plus longue que prévue par la législation actuelle.

    Donc plutôt que de comparer la réforme Macron au système actuel (ce qui ferait apparaitre une baisse généralisée des pensions), Delevoye compare la réforme des retraites à …quelque chose qui n’existe pas. Comme ça on a l’impression que sa réforme est géniale…

    Et au détour d’une discrète phrase de la page cent douze, on nous annonce que pour garantir l’équilibre financier du système, le projet de réforme Macron sera « enrichi » avec des mesures de baisse des retraites à court terme. Les personnes prenant leur retraite avant 2025 ne seront donc pas épargnées.

    C’est pourquoi, nous devons nous mobiliser pour empêcher cette réforme de voir le jour.

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  • L’écho de la presta n°56

    L’écho de la presta n°56

    La fédération CGT des Sociétés d’Etudes appelle les salariés à manifester contre la réforme des retraites le 24 septembre en convergence avec l’ensemble des salariés tous secteurs confondus. Cette réforme des retraites voulue par Macron est catastrophique pour les salarié.e.s.

    En effet, elle va se concrétiser par un allongement de la durée du travail et une baisse des pensions. Ainsi :

    • Une personne ayant travaillé toute sa vie, mais finissant les 8 dernières années de sa carrière en invalidité avec un salaire (salaire médian) de 1880€ peut partir aujourd’hui avec une pension de 1163€. Demain avec un régime à points, elle tombe à 923€, soit -243€.
    • Une enseignante, professeure de collège qui a débuté à 24 ans et part à 63 ans, subit une décote de 20% et touche une pension de 1900€. Demain, elle passerait au même âge à 1622€ soit -278€.
    • Une femme, 43 ans de travail dont 23 ans à temps complet, retraite à 62 ans, avec le système actuel : 801€ par mois. Montant avec un système par points : 535€ soit -221,5€/mois.
    • Un employé ayant travaillé toute sa vie au SMIC, retraite avec 44 ans de travail à 60 ans pour carrière longue. Retraite de base : 788/mois. Retraire avec le système par points : 696€ soit -92€/mois.
    • Un cadre avec de multiples employeurs, avec des périodes de chômage avec le calcul sur les 25 meilleures années, passe d’un salaire moyen de 2300€ à 1471€ (hors retraite complémentaire). Demain, avec le régime universel, la totalité de sa pension tombe à 1348€.

    Le rapport de Jean-Paul DELEVOYE, haut-commissaire à la réforme des retraites, est des plus clairs. Il s’agit d’organiser et de garantir la baisse des pensions de retraite… puisque cette réforme se fait « à moyens constants » et que le nombre de retraités va augmenter. Et monsieur Delevoye l’assume complètement dans les simulations, par ailleurs inexactes, qui voient toutes, sans exception, les pensions retraite baisser au fil du temps.

    La simulation, pour faire passer la pilule, compare le système Macron à une retraite du système actuel calculée selon une durée de cotisation fictive, plus longue que prévue par la législation actuelle.

    Donc plutôt que de comparer la réforme Macron au système actuel (ce qui ferait apparaitre une baisse généralisée des pensions), Delevoye compare la réforme des retraites à …quelque chose qui n’existe pas. Comme ça on a l’impression que sa réforme est géniale…

    Et au détour d’une discrète phrase de la page cent douze, on nous annonce que pour garantir l’équilibre financier du système, le projet de réforme Macron sera « enrichi » avec des mesures de baisse des retraites à court terme. Les personnes prenant leur retraite avant 2025 ne seront donc pas épargnées.

    C’est pourquoi, nous devons nous mobiliser pour empêcher cette réforme de voir le jour.

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  • La Bastoche N°143

    La Bastoche N°143

    REFORME DES RETRAITES : NOUS NE SOMMES PAS DUPES !

    Le gouvernement Macron engage une réforme explosive de nos retraites, sonnant la fin de notre système solidaire existant depuis 1945. 

    Les médias sont pleinement engagés dans une campagne de propagande, pour nous faire croire que cette réforme est gagnant-gagnant. On nous enfume, puisque son but affiché est de réduire une retraite jugée trop chère par les patrons qui brament contre les « charges » et le « coût du travail ».

    Explications

    OBJECTIF DE LA RÉFORME : LIMITER À 14 % DU PIB LA PART DES RETRAITES.
    Alors que le nombre des retraités va augmenter de 30 % d’ici à 2050. Ceci, pour orienter les salariés (du moins ceux qui le peuvent) vers une capitalisation/épargne retraite soumise à l’inflation et aux krachs boursiers.

    ACCÉLÉRATION DE LA RÉFORME HOLLANDE.
    Une retraite à taux plein nécessitera 172 trimestres validés dès l’an prochain (et non après 2030 comme prévu en 2014).

    RETRAITE PAR POINTS = BAISSE DES PENSIONS DE 30 %, avec ce système, la totalité de la carrière compte, avec ses aléas (précarité, temps partiel subi, salaires faibles, etc.). Pour calculer la retraite du privé, on prenait les 25 meilleures années (10 meilleures avant 1993), demain on prendra aussi les 18 plus mauvaises !

    NOUVEAU RECUL DE L’ÂGE DE LA RETRAITE À 64 ANS, et on nous annonce déjà que cet âge, baptisé  « âge pivot », sera susceptible de reculer encore, et sera la variable de compensation pour ajuster financièrement le futur régime.

    BAISSE D’UNE BONNE PARTIE DES PENSIONS DE REVERSION, ceci, alors que les femmes, qui en sont majoritairement bénéficiaires, touchent déjà de petites retraites.

    FIN DES RÉGIMES SPÉCIAUX ET DES DÉPARTS ANTICIPÉS POUR PÉNIBILITÉ (régimes des travailleurs postés 3x8C, etc.). La réforme Delevoye, c’est la retraite pour les morts, comme les assurances sociales de 1930 !

    L’argent existe très largement pour nos retraites, il suffit de nous réapproprier les dizaines de milliards qui sont détournés chaque année en dividendes, exonérations et autres cadeaux fiscaux par les riches. Cette réforme constitue un recul social sans précédent depuis la Deuxième Guerre mondiale.

    « Le recul social ne se négocie pas, il se combat »

    ENGAGEONS-NOUS COLLECTIVEMENT À STOPPER NET, DÈS LA RENTRÉE 2019, cette nouvelle réforme du président des riches.

    PRÉPARONS UNE BATAILLE DONT ON SE SOUVIENDRA LONGTEMPS !

     

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  • Perspectives n°153

    Perspectives n°153

    La fédération CGT des Sociétés d’Etudes appelle les salariés à manifester contre la réforme des retraites le 24 septembre en convergence avec l’ensemble des salariés tous secteurs confondus. Cette réforme des retraites voulue par Macron est catastrophique pour les salarié.e.s.

    En effet, elle va se concrétiser par un allongement de la durée du travail et une baisse des pensions. Ainsi :

    • Une personne ayant travaillé toute sa vie, mais finissant les 8 dernières années de sa carrière en invalidité avec un salaire (salaire médian) de 1880€ peut partir aujourd’hui avec une pension de 1163€. Demain avec un régime à points, elle tombe à 923€, soit -243€.
    • Une enseignante, professeure de collège qui a débuté à 24 ans et part à 63 ans, subit une décote de 20% et touche une pension de 1900€. Demain, elle passerait au même âge à 1622€ soit -278€.
    • Une femme, 43 ans de travail dont 23 ans à temps complet, retraite à 62 ans, avec le système actuel : 801€ par mois. Montant avec un système par points : 535€ soit -221,5€/mois.
    • Un employé ayant travaillé toute sa vie au SMIC, retraite avec 44 ans de travail à 60 ans pour carrière longue. Retraite de base : 788/mois. Retraire avec le système par points : 696€ soit -92€/mois.
    • Un cadre avec de multiples employeurs, avec des périodes de chômage avec le calcul sur les 25 meilleures années, passe d’un salaire moyen de 2300€ à 1471€ (hors retraite complémentaire). Demain, avec le régime universel, la totalité de sa pension tombe à 1348€.

    Le rapport de Jean-Paul DELEVOYE, haut-commissaire à la réforme des retraites, est des plus clairs. Il s’agit d’organiser et de garantir la baisse des pensions de retraite… puisque cette réforme se fait « à moyens constants » et que le nombre de retraités va augmenter. Et monsieur Delevoye l’assume complètement dans les simulations, par ailleurs inexactes, qui voient toutes, sans exception, les pensions retraite baisser au fil du temps.

    La simulation, pour faire passer la pilule, compare le système Macron à une retraite du système actuel calculée selon une durée de cotisation fictive, plus longue que prévue par la législation actuelle.

    Donc plutôt que de comparer la réforme Macron au système actuel (ce qui ferait apparaitre une baisse généralisée des pensions), Delevoye compare la réforme des retraites à …quelque chose qui n’existe pas. Comme ça on a l’impression que sa réforme est géniale…

    Et au détour d’une discrète phrase de la page cent douze, on nous annonce que pour garantir l’équilibre financier du système, le projet de réforme Macron sera « enrichi » avec des mesures de baisse des retraites à court terme. Les personnes prenant leur retraite avant 2025 ne seront donc pas épargnées.

    C’est pourquoi, nous devons nous mobiliser pour empêcher cette réforme de voir le jour.

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  • Droit devant n°114

    Droit devant n°114

    La fédération CGT des Sociétés d’Etudes appelle les salariés à manifester contre la réforme des retraites le 24 septembre en convergence avec l’ensemble des salariés tous secteurs confondus. Cette réforme des retraites voulue par Macron est catastrophique pour les salarié.e.s.

    En effet, elle va se concrétiser par un allongement de la durée du travail et une baisse des pensions. Ainsi :

    • Une personne ayant travaillé toute sa vie, mais finissant les 8 dernières années de sa carrière en invalidité avec un salaire (salaire médian) de 1880€ peut partir aujourd’hui avec une pension de 1163€. Demain avec un régime à points, elle tombe à 923€, soit -243€.
    • Une enseignante, professeure de collège qui a débuté à 24 ans et part à 63 ans, subit une décote de 20% et touche une pension de 1900€. Demain, elle passerait au même âge à 1622€ soit -278€.
    • Une femme, 43 ans de travail dont 23 ans à temps complet, retraite à 62 ans, avec le système actuel : 801€ par mois. Montant avec un système par points : 535€ soit -221,5€/mois.
    • Un employé ayant travaillé toute sa vie au SMIC, retraite avec 44 ans de travail à 60 ans pour carrière longue. Retraite de base : 788/mois. Retraire avec le système par points : 696€ soit -92€/mois.
    • Un cadre avec de multiples employeurs, avec des périodes de chômage avec le calcul sur les 25 meilleures années, passe d’un salaire moyen de 2300€ à 1471€ (hors retraite complémentaire). Demain, avec le régime universel, la totalité de sa pension tombe à 1348€.

    Le rapport de Jean-Paul DELEVOYE, haut-commissaire à la réforme des retraites, est des plus clairs. Il s’agit d’organiser et de garantir la baisse des pensions de retraite… puisque cette réforme se fait « à moyens constants » et que le nombre de retraités va augmenter. Et monsieur Delevoye l’assume complètement dans les simulations, par ailleurs inexactes, qui voient toutes, sans exception, les pensions retraite baisser au fil du temps.

    La simulation, pour faire passer la pilule, compare le système Macron à une retraite du système actuel calculée selon une durée de cotisation fictive, plus longue que prévue par la législation actuelle.

    Donc plutôt que de comparer la réforme Macron au système actuel (ce qui ferait apparaitre une baisse généralisée des pensions), Delevoye compare la réforme des retraites à …quelque chose qui n’existe pas. Comme ça on a l’impression que sa réforme est géniale…

    Et au détour d’une discrète phrase de la page cent douze, on nous annonce que pour garantir l’équilibre financier du système, le projet de réforme Macron sera « enrichi » avec des mesures de baisse des retraites à court terme. Les personnes prenant leur retraite avant 2025 ne seront donc pas épargnées.

    C’est pourquoi, nous devons nous mobiliser pour empêcher cette réforme de voir le jour.

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  • Le Chiffre Déchaîné n°114

    Le Chiffre Déchaîné n°114

    La fédération CGT des Sociétés d’Etudes appelle les salariés à manifester contre la réforme des retraites le 24 septembre en convergence avec l’ensemble des salariés tous secteurs confondus. Cette réforme des retraites voulue par Macron est catastrophique pour les salarié.e.s.

    En effet, elle va se concrétiser par un allongement de la durée du travail et une baisse des pensions. Ainsi :

    • Une personne ayant travaillé toute sa vie, mais finissant les 8 dernières années de sa carrière en invalidité avec un salaire (salaire médian) de 1880€ peut partir aujourd’hui avec une pension de 1163€. Demain avec un régime à points, elle tombe à 923€, soit -243€.
    • Une enseignante, professeure de collège qui a débuté à 24 ans et part à 63 ans, subit une décote de 20% et touche une pension de 1900€. Demain, elle passerait au même âge à 1622€ soit -278€.
    • Une femme, 43 ans de travail dont 23 ans à temps complet, retraite à 62 ans, avec le système actuel : 801€ par mois. Montant avec un système par points : 535€ soit -221,5€/mois.
    • Un employé ayant travaillé toute sa vie au SMIC, retraite avec 44 ans de travail à 60 ans pour carrière longue. Retraite de base : 788/mois. Retraire avec le système par points : 696€ soit -92€/mois.
    • Un cadre avec de multiples employeurs, avec des périodes de chômage avec le calcul sur les 25 meilleures années, passe d’un salaire moyen de 2300€ à 1471€ (hors retraite complémentaire). Demain, avec le régime universel, la totalité de sa pension tombe à 1348€.

    Le rapport de Jean-Paul DELEVOYE, haut-commissaire à la réforme des retraites, est des plus clairs. Il s’agit d’organiser et de garantir la baisse des pensions de retraite… puisque cette réforme se fait « à moyens constants » et que le nombre de retraités va augmenter. Et monsieur Delevoye l’assume complètement dans les simulations, par ailleurs inexactes, qui voient toutes, sans exception, les pensions retraite baisser au fil du temps.

    La simulation, pour faire passer la pilule, compare le système Macron à une retraite du système actuel calculée selon une durée de cotisation fictive, plus longue que prévue par la législation actuelle.

    Donc plutôt que de comparer la réforme Macron au système actuel (ce qui ferait apparaitre une baisse généralisée des pensions), Delevoye compare la réforme des retraites à …quelque chose qui n’existe pas. Comme ça on a l’impression que sa réforme est géniale…

    Et au détour d’une discrète phrase de la page cent douze, on nous annonce que pour garantir l’équilibre financier du système, le projet de réforme Macron sera « enrichi » avec des mesures de baisse des retraites à court terme. Les personnes prenant leur retraite avant 2025 ne seront donc pas épargnées.

    C’est pourquoi, nous devons nous mobiliser pour empêcher cette réforme de voir le jour.

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  • Auto’Mag n°85

    Auto’Mag n°85

    La fédération CGT des Sociétés d’Etudes appelle les salariés à manifester contre la réforme des retraites le 24 septembre en convergence avec l’ensemble des salariés tous secteurs confondus. Cette réforme des retraites voulue par Macron est catastrophique pour les salarié.e.s.

    En effet, elle va se concrétiser par un allongement de la durée du travail et une baisse des pensions. Ainsi :

    • Une personne ayant travaillé toute sa vie, mais finissant les 8 dernières années de sa carrière en invalidité avec un salaire (salaire médian) de 1880€ peut partir aujourd’hui avec une pension de 1163€. Demain avec un régime à points, elle tombe à 923€, soit -243€.
    • Une enseignante, professeure de collège qui a débuté à 24 ans et part à 63 ans, subit une décote de 20% et touche une pension de 1900€. Demain, elle passerait au même âge à 1622€ soit -278€.
    • Une femme, 43 ans de travail dont 23 ans à temps complet, retraite à 62 ans, avec le système actuel : 801€ par mois. Montant avec un système par points : 535€ soit -221,5€/mois.
    • Un employé ayant travaillé toute sa vie au SMIC, retraite avec 44 ans de travail à 60 ans pour carrière longue. Retraite de base : 788/mois. Retraire avec le système par points : 696€ soit -92€/mois.
    • Un cadre avec de multiples employeurs, avec des périodes de chômage avec le calcul sur les 25 meilleures années, passe d’un salaire moyen de 2300€ à 1471€ (hors retraite complémentaire). Demain, avec le régime universel, la totalité de sa pension tombe à 1348€.

    Le rapport de Jean-Paul DELEVOYE, haut-commissaire à la réforme des retraites, est des plus clairs. Il s’agit d’organiser et de garantir la baisse des pensions de retraite… puisque cette réforme se fait « à moyens constants » et que le nombre de retraités va augmenter. Et monsieur Delevoye l’assume complètement dans les simulations, par ailleurs inexactes, qui voient toutes, sans exception, les pensions retraite baisser au fil du temps.

    La simulation, pour faire passer la pilule, compare le système Macron à une retraite du système actuel calculée selon une durée de cotisation fictive, plus longue que prévue par la législation actuelle.

    Donc plutôt que de comparer la réforme Macron au système actuel (ce qui ferait apparaitre une baisse généralisée des pensions), Delevoye compare la réforme des retraites à …quelque chose qui n’existe pas. Comme ça on a l’impression que sa réforme est géniale…

    Et au détour d’une discrète phrase de la page cent douze, on nous annonce que pour garantir l’équilibre financier du système, le projet de réforme Macron sera « enrichi » avec des mesures de baisse des retraites à court terme. Les personnes prenant leur retraite avant 2025 ne seront donc pas épargnées.

    C’est pourquoi, nous devons nous mobiliser pour empêcher cette réforme de voir le jour.

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  • Les officiales n°73

    Les officiales n°73

    La fédération CGT des Sociétés d’Etudes appelle les salariés à manifester contre la réforme des retraites le 24 septembre en convergence avec l’ensemble des salariés tous secteurs confondus. Cette réforme des retraites voulue par Macron est catastrophique pour les salarié.e.s.

    En effet, elle va se concrétiser par un allongement de la durée du travail et une baisse des pensions. Ainsi :

    • Une personne ayant travaillé toute sa vie, mais finissant les 8 dernières années de sa carrière en invalidité avec un salaire (salaire médian) de 1880€ peut partir aujourd’hui avec une pension de 1163€. Demain avec un régime à points, elle tombe à 923€, soit -243€.
    • Une enseignante, professeure de collège qui a débuté à 24 ans et part à 63 ans, subit une décote de 20% et touche une pension de 1900€. Demain, elle passerait au même âge à 1622€ soit -278€.
    • Une femme, 43 ans de travail dont 23 ans à temps complet, retraite à 62 ans, avec le système actuel : 801€ par mois. Montant avec un système par points : 535€ soit -221,5€/mois.
    • Un employé ayant travaillé toute sa vie au SMIC, retraite avec 44 ans de travail à 60 ans pour carrière longue. Retraite de base : 788/mois. Retraire avec le système par points : 696€ soit -92€/mois.
    • Un cadre avec de multiples employeurs, avec des périodes de chômage avec le calcul sur les 25 meilleures années, passe d’un salaire moyen de 2300€ à 1471€ (hors retraite complémentaire). Demain, avec le régime universel, la totalité de sa pension tombe à 1348€.

    Le rapport de Jean-Paul DELEVOYE, haut-commissaire à la réforme des retraites, est des plus clairs. Il s’agit d’organiser et de garantir la baisse des pensions de retraite… puisque cette réforme se fait « à moyens constants » et que le nombre de retraités va augmenter. Et monsieur Delevoye l’assume complètement dans les simulations, par ailleurs inexactes, qui voient toutes, sans exception, les pensions retraite baisser au fil du temps.

    La simulation, pour faire passer la pilule, compare le système Macron à une retraite du système actuel calculée selon une durée de cotisation fictive, plus longue que prévue par la législation actuelle.

    Donc plutôt que de comparer la réforme Macron au système actuel (ce qui ferait apparaitre une baisse généralisée des pensions), Delevoye compare la réforme des retraites à …quelque chose qui n’existe pas. Comme ça on a l’impression que sa réforme est géniale…

    Et au détour d’une discrète phrase de la page cent douze, on nous annonce que pour garantir l’équilibre financier du système, le projet de réforme Macron sera « enrichi » avec des mesures de baisse des retraites à court terme. Les personnes prenant leur retraite avant 2025 ne seront donc pas épargnées.

    C’est pourquoi, nous devons nous mobiliser pour empêcher cette réforme de voir le jour.

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