Le procès de notre camarade Elie DOMOTA est prévu le 15 mars 2018 pour « violence en réunion », suite à une plainte déposée par la direction de BMW.

 

Encore une fois, le MEDEF tente de diaboliser les organisations syndicales et de criminaliser toute action syndicale qui combat le néolibéralisme.

Le tort d’Elie DOMOTA est de vouloir résister à la baisse des conventions collectives, à la destruction du Code du travail … en fait, à cette logique de régression sociale mise en oeuvre par le patronat.

Les libertés syndicales ne se négocient pas et ce n’est pas la logique régressive employée par l’état qui mettra fin aux batailles que l’UGTG mène, batailles qui sont nôtres.

Les syndicalistes ne sont pas des criminels parce qu’ils se battent pour la défense des droits des salarié.e.s. C’est pourquoi nous exigeons l’abandon de toutes les poursuites dont font l’objet nos camarades de l’UGTG.

Solidarité totale envers Elie DOMOTA, Secrétaire Général de l'UGTG